mercredi 28 octobre 2009

Parole de sagesse


“On est riche de ce que l'on donne. Aussi convient-il de donner chaque jour ne serait-ce qu'un regard à autrui. Mais aussi de l'écoute et du temps.
                                                                                - inconnu-

dimanche 25 octobre 2009

A méditer




LE CONDOR ET LE COLIBRI

Il était une fois le Condor, un oiseau extraordinaire, grand et puissant, qui prétendait être le Roi car - selon lui - il était le seul à pouvoir voler jusqu’au Soleil.
Un petit Colibri apparut et dit. « Moi aussi je peux voler jusqu’au Soleil ! »
Les animaux se mirent à rire et les deux oiseaux se défièrent pour une course le lendemain matin.

À la levée du jour tous les animaux de la forêt se réunirent : le Condor y vint très tôt, préparant ses plumes et dépliant ses ailes majestueuses.
Mais le Colibri n’arrivait pas. Le Condor dit alors : « Voyez, mon opposant n’est même pas venu. Mais je vous montrerai quand même qui peut voler jusqu’au Soleil ! »
Il déplia ses ailes et vola très, très haut, jusqu’à être tout proche de l’atmosphère du Soleil. À ce moment-là, pour montrer sa révérence - puisqu’il ne faut pas regarder le visage de Dieu - il inclina sa tête et des plumes de son col émergea le petit Colibri, qui pénétra le Soleil et en ressorti emportant dans son bec le feu le plus sacré !

Revenu à la forêt, il dit fièrement : « J’ai vu le visage de Wiracocha ! C’est donc moi le Roi. »
Depuis lors, il représente l’habileté d'utiliser la force à laquelle on ne peut pas s’opposer, l’astuce et l’intelligence… et la PASSION de se lancer dans de grands défis, même lorsque tous les autres croient qu’il nous manque les ailes ou la force pour faire face !
                                                                                                          -Légende indienne-



LE CONDOR ET LE COLIBRI

Il était une fois le Condor, un oiseau extraordinaire, grand et puissant, qui prétendait être le Roi car - selon lui - il était le seul à pouvoir voler jusqu’au Soleil.
Un petit Colibri apparut et dit. « Moi aussi je peux voler jusqu’au Soleil ! »
Les animaux se mirent à rire et les deux oiseaux se défièrent pour une course le lendemain matin.

À la levée du jour tous les animaux de la forêt se réunirent : le Condor y vint très tôt, préparant ses plumes et dépliant ses ailes majestueuses.
Mais le Colibri n’arrivait pas. Le Condor dit alors : « Voyez, mon opposant n’est même pas venu. Mais je vous montrerai quand même qui peut voler jusqu’au Soleil ! »
Il déplia ses ailes et vola très, très haut, jusqu’à être tout proche de l’atmosphère du Soleil. À ce moment-là, pour montrer sa révérence - puisqu’il ne faut pas regarder le visage de Dieu - il inclina sa tête et des plumes de son col émergea le petit Colibri, qui pénétra le Soleil et en ressorti emportant dans son bec le feu le plus sacré !

Revenu à la forêt, il dit fièrement : « J’ai vu le visage de Wiracocha ! C’est donc moi le Roi. »
Depuis lors, il représente l’habileté d'utiliser la force à laquelle on ne peut pas s’opposer, l’astuce et l’intelligence… et la PASSION de se lancer dans de grands défis, même lorsque tous les autres croient qu’il nous manque les ailes ou la force pour faire face !
                                                                                                          -Légende indienne-

mardi 13 octobre 2009

dimanche 4 octobre 2009

Poëme





Je sillonne les chemins au bord de l’océan 
Je laisse planer mon âme en souvenir du temps 
Où les vagues chantaient des idées aux amants 
Où nos rêves se posaient sur les ailes des goélands 

Tourbillon de pensées évadées sur la lande 
Comme des mots en cadeau pour tes yeux en amande 
Que ton cœur les reçoit en bouquet en offrande 
Parfumés d’alchimie digne de Brocéliande 

Le temps a séparé ce qu’il avait uni 
Et tes larmes desséchées ont sonné l’hallali 
De cette vague amoureuse se brisant dans le lit 
D’une sombre magicienne, belle Circée de nuit 

Mais cette ensorceleuse au doux chant de sirène 
M’entraîna sur la voie qui m’éloigne d’Eden 
M’enchaîna de sa voix à son regard d’ébène 
Et dans ton cœur vidé elle fit le plein de haine 

La sorcière est parti en chasse d’un égaré 
Me laissant solitaire les bras plein de regrets 
Alors j’offre à Éole ma détresse en brassée 
Ma mémoire est gardienne de mon amour brisé 

-poëme breton-

A quoi vous fait penser cette vue?