mercredi 29 septembre 2010

A méditer




 "Beaucoup de gens croient qu'ils pensent alors qu'ils remettent 
 seulement en ordre leurs préjugés."
 -William James-
 

le petit prince extraits (l'amitié)


Quel  texte, pour vous, imagerai et décrirai le mieux l’amitié? 
Pour moi, et de loin, c’est « le petit prince » d’Antoine de St Exupéry et plus précisement la rencontre du petit prince et du renard. Extraits :

« Mais si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre.
Tu seras pour moi unique au monde et je serai pour toi unique au monde. »
« Si tu veux un ami, apprivoise moi !
-         Que faut il faire ? demanda le petit Prince.  
-         Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t’assoiras d’abord un peu loin de moi, comme ça, dans l’herbe. Je te regarderai du coin de l’œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu  pourras t’asseoir un peu plus près…. »
-         « il eu mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu reviens, par exemple à quatre heures de l’après midi, dès trois heures je commencerais à être heureux. Plus l’heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m’agiterai et je serai inquièt : je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens a n’importe quelle heure, je ne saurais jamais quand m’habiller le cœur…. »
-         «  c’est le temps que tu as perdu pour ta rose, qui fait ta rose si importante. »
-         Les hommes de chez toi, dit le petit Prince, cultivent cinq mille roses dans un même jardin… et ils n’y trouvent pas ce qu’il cherchent…
-         Il ne trouvent pas ce qu’ils cherchent, répondis-je…
-         Et cependant, ce qu’ils cherchent pourrait être trouvé dans une seule rose ou un peu d’eau. »

Sans doute, avez-vous déjà lu cette œuvre, mais l’avez-vous relu recemment ?
C’est pour moi un ouvrage incontournable dans la compréhension des relations avec l’autre, et c’est bien sur devenu mon livre de chevet.

-Nextdid-

mardi 28 septembre 2010

That's Just The Way It Is ( avec David Crosby)





Toute la journée il se battait pour toi
Et il ne connaissait même pas ton nom
De jeunes hommes partent et de jeunes hommes arrivent
Mais la vie continue normalement

 
[Refrain]
Et je ne sais pas pourquoi
Pourquoi on continue de s'accrocher
Je ne sais pas pourquoi
On se prétend, oh, si fort
Oh pourquoi ?
Y-a t'il quelque chose que je ne sais pas ?
Ou un malentendu, entre vous et moi ?
Ou peut-être que...
 
C'est comme ça...
C'est comme ça...
 
Ils attendirent les mots pour pouvoir descendre
Ils vous attendirent nuit et jour
Ils ne vous attendront pas plus longtemps
Il est peut-être déjà trop tard
 
[Refrain]
 
C'est comme ça...
C'est comme ça...
 
Vous voyez l'agonie, vous sentez la souffrance
Qu'avez-vous à dire ?
Si nous sommes d'accord sur le fait que nos avis divergent
Nous pourrions arrêter tout ça aujourd'hui
 
Ce fût ta vie tant que tu pourras t'en souvenir
Mais tu ne peux plus te battre
Tu dois vouloir voir ton fils dans les yeux
Quand il te demande ce que tu as fait et pour quoi
 
Car toute la journée il se battait pour toi
Et il ne connaissait même pas ton nom
De jeunes hommes partent et de jeunes hommes arrivent
Mais la vie continue normalement
 
Et je ne sais pas pourquoi
Pourquoi on continue de s'accrocher
Je ne sais pas pourquoi
On se prétend, oh, si fort
Oh pourquoi ?
Y-a t'il quelque chose que personne ne m'ait dit ?
Ou un malentendu, entre vous et moi ?
Ou peut-être que...
 
C'est comme ça (C'est comme ça)
Il n'y a rien que je puisse faire (C'est comme ça)
C'est comme ça (C'est comme ça)
Oh, oh ! (C'est comme ça)
C'est comme ça !
C'est comme ça !
Il n'y a rien que je puisse faire...
C'est comme ça !
C'est comme ça !
(C'est comme ça)
(C'est comme ça)
(C'est comme ça)

-Phil COLLINS- (Album » But Sériously » 1989)


un clip qui refait vivre certaines passages de ma vie ou j'ai appris la bétise humaine,
et que je ne peux écouter sans que je ne puisse retenir les larmes.

Pour cette période qui restera gravée et qui a profondément changé  ma vie.
J'espère que l'humanité saura reconnaître ce chemin avant qu'il ne soit trop tard.


-Nextdid-

Parole de sagesse


"Quelquefois, à travers les yeux de ton ami, tu vois un inconnu qui te regarde!

-Jean Paul TOULET (1867-1920)-

dimanche 26 septembre 2010

ballade (nord de Niort 79, lieu dit croisette)

je ne suis pas toujours les chemins tracés, 

ça tombe bien car il n'en n'existe pas pour le trajet que je me suis fixé

Voilà mon but: la plaine de Niort et la Sèvre Niortaise 
par des "chemins détournés ou.... inexistants"!

plus qu'a descendre

en passant devant un lavoir de source, 
c'est assez rare!

je rattrape le chemin de croisette

jusqu'au lavoir de Sciecq

en poursuivant mon chemin un vieux banc de pierre 
m'invite a une restauration rapide.

je vais longer le mur d'une ancienne métairie pour remonter

une dernière vue sur la plaine pendant que je remonte,
pas le choix... la voiture est de l'autre coté de la colline

c'est la saison, et les couleurs sont aussi au sol


la pluie accompagnera la fin de ma ballade, 
mais cela ne me dérange pas.

Voilà une petite ballade décidé le matin pour le jour même en pensant a mon père qui me parlait de croisette,une coulée verte comme disent les anciens. Ceux qui me connaissent savent que ces "ballades" sont pour moi essentielles, elle me procurent sérénité, force en l'avenir pour avancer et passer les obstacles qui surviennent dans ma vie. je remercie, d'ailleurs, la discrétion et de l'empathie de mes amis qui me laissent partir a l'aventure sans rien me demander. ils sont peu mais ce sont de vrais amis, qui savent s'éloigner et pourtant rester si proches. c'est aussi le jour de leur rendre hommage, chacun a leur niveau sont un trésor que chacun d'entre nous devrait avoir la possibilité de connaître.
En pensant a eux, je crois qu'on peut se passer d'amour mais certainement pas d'amitié...
L'amitié est un sujet important pour moi qui fera l'objet d'un prochain article qui exposera mes pensées toutes personnelles sur ce sujet.

-Nextdid-


samedi 25 septembre 2010

vert





Étonnant de vous découvrir d'ici
De quel royaume ancien venez-vous
Mémoire floue
Douceur extrême
Le vent est excité de vous toucher

Évidemment
Vous êtes le roi du printemps
Qui m'invite à penser à l'Orient
« Qui fait pleurer le saule ? »
Là-bas, la rangée de ces arbres sur la rive
Répandent leurs larmes
Dans la rivière autour de la cité
Le vent ride la surface de l'eau
et emporte leurs secrets

La beauté fatale me fige
Je m'égare à votre approche.
Mais, la brise
En vous caressant tendrement
Dévoile votre murmure
À mes oreilles
« Enfin, je deviens un arbre indépendant ! »


-Meiduo Mi-

mardi 21 septembre 2010

Grand Corps Malade -Je dors sur mes deux oreilles





J’ai constaté que la douleur était une bonne source d’inspiration
Et que les zones d’ombre du passé montrent au stylo la direction
La colère et la galère sont des sentiments productifs
Qui donnent des thèmes puissants, quoi qu’un peu trop répétitifs
A croire qu’il est plus facile de livrer nos peines et nos cris
Et qu’en un battement de cils un texte triste est écrit
On se laisse aller sur le papier et on emploie trop de métaphores
Pourtant je t’ai déjà dit que tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts
C’est pour ça qu’aujourd’hui j’ai décidé de changer de thème
D’embrasser le premier connard venu pour lui dire je t’aime
Des lyrics pleins de vie avec des rimes pleines d’envie
Je vois, je veux, je vis, je vais, je viens, je suis ravi
C’est peut-être une texte trop candide mais il est plein de sincérité
Je l’ai écrit avec une copine, elle s’appelle Sérénité
Toi tu dis que la vie est dure et au fond de moi je pense pareil
Mais je garde les idées pures et je dors sur mes 2 oreilles
Evidemment on marche sur un fil, chaque destin est bancal
Et l’existence est fragile comme une vertèbre cervicale
On t’a pas vraiment menti, c’est vrai que parfois tu vas saigner
Mais dans chaque putain de vie, y’a tellement de choses à gagner
J’aime entendre, raconter, j’aime montrer et j’aime voir
J’aime apprendre, partager, tant qu’y a de l’échange y’a de l’espoir
J’aime les gens, j’aime le vent, c’est comme ça je joue pas un rôle
J’ai envie, j’ai chaud, j’ai soif, j’ai hâte, j’ai faim et j’ai la gaule
J’espère que tu me suis, dans ce que je dis y’a rien de tendancieux
Quand je ferme les yeux, c’est pour mieux ouvrir les cieux
C’est pas une religion, c’est juste un état d’esprit
Y’a tellement de choses à faire et ça maintenant je l’ai compris
Chaque petit moment banal, je suis capable d’en profiter
Dans la vie j’ai tellement de kifs que je pourrai pas tous les citer
Moi en été je me sens vivre, mais en hiver c’est pareil
J’ai tout le temps l’œil du tigre, et je dors sur mes 2 oreilles

C’est pas moi le plus chanceux mais je me sens pas le plus à plaindre
Et j’ai compris les règles du jeu, ma vie c’est moi qui vais la peindre
Alors je vais y mettre le feu en ajoutant plein de couleurs
Moi quand je regarde par la fenêtre je vois que le béton est en fleur
J’ai envie d’être au cœur de la ville et envie d’être au bord de la mer
De voir le delta du Nil et j’ai envie d’embrasser ma mère
J’ai envie d’être avec les miens et j’ai envie de faire des rencontres
J’ai les moyens de me sentir bien et ça maintenant je m’en rends compte
Je voulais pas écrire un texte « petite maison dans la prairie »
Mais j’étais de bonne humeur et même mon stylo m’a souri
Et puis je me suis demandé si j’avais le droit de pas être rebelle
D’écrire un texte de slam pour affirmer que la vie est belle
Si tu me chambres je m’en bats les reins, parfois je me sens inattaquable
Parce que je suis vraiment serein et je suis pas prêt de péter un câble
La vie c’est gratuit je vais me resservir et tu devrais faire pareil
Moi je me couche avec le sourire et je dors sur mes 2 oreilles

La vie c’est gratuit je vais me resservir et ce sera toujours pareil
Moi je me couche avec le sourire et je dors sur mes 2 oreilles

Paroles Grand Corps Malade
Titre : Je dors sur mes deux oreilles
Album : Midi 20

vendredi 17 septembre 2010

A méditer

Le destin nous invite a résoudre trois équations que nous rencontrons au cours de notre vie.

- les évènements à vivre,         

- la souffrance à comprendre,          

- la connaissance à acquérir.

L'important est, cependant, de bien vivre le présent.

-Nextdid-

lundi 6 septembre 2010

A méditer



"L'amour ne devrait pas être un combat, 
mais une coopération aux dimensions sublimes" 
-Van Minh-

A quoi vous fait penser cette vue?